Ce qui peut aider
- La confiance en soi, l’estime de soi et les habiletés sociales
- Les compétences psychosociales (résolution de problème, esprit critique, communication, empathie, maîtrise des émotions)
- La saine gestion du stress
- Des relations familiales et d’amitiés harmonieuses
- Des relations interpersonnelles positives (appartenir à un groupe de pairs positifs), un réseau et un soutien social solides
- L’épanouissement personnel, la réalisation de soi
- Un climat scolaire positif
- Un développement adéquat dans l’enfance, de bonnes ressources personnelles
- L’activité physique
- Une intervention précoce, l’éducation à la santé mentale
Ce qui peut nuire
- La consommation de substances psychoactives (drogues et/ou alcool)
- Une mauvaise gestion du stress, la maladie
- La violence, l’abus, les conflits
- Des événements marquants de la vie (deuil, rupture amoureuse, séparation/divorce des parents, échecs répétés, agression, placements nombreux, déménagements multiples, etc.)
- Le racisme, le sexisme, l’homophobie
- L’autonomie précoce ou pseudo-autonomie
- L’éclatement des familles, des problèmes familiaux
- Des antécédents familiaux de maladie mentale
- Une absence de figures significatives
- L’isolement social
- La pauvreté, l’insécurité financière
- Un déséquilibre chimique dans le cerveau
Source : Association canadienne pour la santé mentale, Montréal. Ma vie, c’est cool d’en parler – Guide d’activités pédagogiques, 2013. Adapté par la Direction de santé publique, CISSS des Laurentides.