- Rester à l’affût des changements dans son comportement. (Ex : repli sur soi, maux de tête, maux de ventre, refus d’aller à l’école, manque d’appétit, etc.)
- L’écouter sans essayer de trouver des solutions à tout prix. L’important est qu’il puisse exprimer ce qu’il ressent.
- L’aider à se détendre en proposant des activités relaxantes ou qui sont source de plaisir. (Les activités physiques et créatives sont de bons exutoires)
- Adopter une attitude parentale favorable à l’estime de soi et au sentiment de compétence :
- Souligner ses forces
- Lui rappeler ses réussites passées
- Exprimer son amour inconditionnel envers lui
- Valoriser ses idées, ses initiatives et les projets qu’il entreprend
- Accorder plus d’importance à la démarche d’apprentissage qu’à ses résultats
- Avoir des attentes réalistes par rapport à ses capacités
- Respecter son rythme tant dans ses apprentissages scolaires que dans les activités sportives et récréatives
- L’encourager à vivre des expériences (positives et variées, gage de succès)
- S’amuser avec lui, partager des moments agréables avec lui
Consulter si l’enfant vit de la détresse, qu’il a de la difficulté à accomplir ses activités quotidiennes et que son état affecte la vie familiale. Voir le répertoire de ressources.
Sources :
Gouvernement du Québec https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/sante-mentale/anxiete-chez-les-enfants/
Duclos, Germain (2000). L’estime de soi : un passeport pour la vie, Hôpital Sainte-Justine, 115 p.